1. Contexte :
La République de Guinée dispose d’un riche potentiel en ressources hydroélectriques qui se traduit en un grand nombre de sites intéressants répartis sur tout le territoire national. Le potentiel hydroélectrique exploitable est estimé à 6000 MW pour une énergie annuelle garantie de 19.300 GWh.
La répartition de ce potentiel hydroélectrique se présente comme suit :
la Guinée Maritime compte 7 grands bassins représentant 2800 MW soit 46% du potentiel total ;
la Moyenne Guinée compte également 7 grands bassins représentant 2600 MW soit 43% du potentiel total ;
la Haute Guinée dispose d’un potentiel estimé à 500 MW soit 8,9% du potentiel total Guinéen. Ce potentiel est réparti entre plusieurs bassins dont les principaux sont le fleuve Niger et ses affluents ;
la Guinée Forestière présente un potentiel de 100 MW soit 2% du potentiel total Guinéen.
Cependant, seul environ 2% est mis en valeur à ce jour.
Ainsi, la Guinée dispose d’une puissance totale installée pour le domaine public de 226,8 MW dont 43,1% en thermique et 56 ,19% en hydraulique répartie comme suit :
- 208,6 MW pour le réseau interconnecté appelé SAMOU – GARAFIRI – KINKON dont 83,4 MW en thermique sur le site de Tombo et 125,2 MW en hydraulique (Centrales du Samou, de Garafiri et de Kinkon).
- 17,8 MW pour les réseaux isolés alimentant 14 préfectures dont 2,2 MW en hydraulique (centrales de Tinkisso, Samankoun et Loffa) et 15,6 MW en thermique diesel.
Le réseau interconnecté fournit environ 90% de la production du réseau public et alimente principalement Conakry.
Par rapport à la production d’énergie électrique nationale, on estime que 52% sont fournis par le service Public dont l’exploitation est assurée par la société Electricité de Guinée ( EDG ), et le reste par les exploitations minières avec une capacité installée totale estimée à 100 MW .
L’accès des populations à l’énergie électrique demeure faible (environ 7,5%) en raison d’une part de l’insuffisance de financement alloué au secteur, et d’autre part des contre performances de EDG caractérisées par : i) une mauvaise desserte et une mauvaise qualité de service en raison de l'état de dégradation des installations de production ainsi que des réseaux de transport et de distribution ;ii) des faiblesses en matière commerciale qui se traduisent par un faible taux de productivité ( environ 40%).
2. Aperçu du marché :
Une étude de la demande en électricité a été faite à l’horizon 2025 dans le cadre de l’étude du plan directeur d’électrification de la Guinée réalisée en 2006 sur financement de la BAD. Les prévisions faites selon une approche désagrégée montrent que c’est le secteur des mines qui occupe la plus grande partie de la consommation avec 47% du total suivi des ménages avec 31%.
A cette demande nationale, il convient d’ajouter les besoins en énergie électrique des pays de la sous région, dont la satisfaction dépend fortement de la production électrique d’origine thermique. En effet, avec le renchérissement des coûts de production thermique du fait de la hausse des prix des produits pétroliers, ces pays sont aujourd’hui fortement intéressés à une offre d’énergie électrique d’origine hydraulique. La réalisation des lignes d’interconnexion en 225 KV des quatre pays ( Gambie,Guinée, Guinée Bissao et Sénégal) dont la mise en service est prévue en 2011 dans le cadre du projet énergie de l’OMVG, offrira les possibilités d’accès à cette demande sous régionale.
3. Cadre réglementaire et juridique :
Le cadre législatif et réglementaire actuel est défini par les textes suivants :
i)La loi L/92/043 du 08 février 1992 portant code des activités économiques. C’est sur la base de cette loi que la privatisation de l’exploitation du service public de l’électricité a été réalisée en 1994 ;
ii)La loi L/93/039/CTRN du 13 septembre 1993 portant réglementation de la Production du transport et de la distribution de l'énergie électrique et qui accorde à l’Entreprise Publique d’électricité le monopole des activités de production, transport et distribution, et confie la fonction de régulation du sous-secteur au Ministère en charge de l’Energie. Cependant, on note depuis octobre 2005 la création sous la tutelle du Ministère de l’Energie d’une agence de régulation de l’énergie ;
iii)La loi L/98/012/ du 1er juin 1998, portant sur le financement, la construction, l’exploitation, l’entretien et le transfert des infrastructures de production développées par les opérateurs privés ( loi BOT ) ;
iv)La loi L/2001/18/ du 23 octobre 2001, relative à l’adoption et à la promulgation de la loi sur la réforme et le désengagement de l’état des Entreprises Publiques.
4. Opportunités d’affaires dans le secteur :
L’investissement dans la production Hydroélectrique. A cet effet, 14 sites hydroélectriques prioritaires ont été identifiés ;
L’investissement dans la distribution d’énergie électrique par le biais de concessions ;
L’acquisition d’équipements électriques pour les réseaux de transport et de distribution sous la forme de crédits fournisseurs ;
Pour se donner les moyens d’atteindre ces objectifs, le Gouvernement Guinéen a entrepris un certain nombre de mesures d’ordre institutionnel :
Elaboration d’une nouvelle lettre de politique de développement du secteur de l’énergie sur financement de l’IDA dont les orientations fondamentales sont axées entre autres sur:
la restructuration du sous secteur de l’électricité en vue d’une plus grande efficacité et par l’implication judicieuse du secteur privé dans l’investissement et la gestion aussi bien de EDG que de l’électrification rurale;
la mise en valeur du potentiel hydroélectrique en prenant en compte les possibilités d’interconnexion dans le cadre du WAPP et de l’OMVG. A cet effet, la Guinée a ratifié le « Protocole de l’Energie » pour le libre accès au réseau électrique, élaboré par la CEDEAO dans le cadre du power pool ouest africain (WAPP) dans le but d’améliorer considérablement les conditions de développement du potentiel hydroélectrique. L’objectif étant de mettre en oeuvre une politique volontariste de réalisation des infrastructures à caractère sous régional afin d’accroître la taille des marchés énergétiques et de faire bénéficier les pays faiblement dotés, de l’abondance énergétique des pays excédentaires, à travers notamment les réseaux d’interconnexion électriques .
la relance du processus de la réforme institutionnelle du sous secteur de l’électricité. Dans ce cadre, le Gouvernement Guinéen envisage l’élaboration d’une étude institutionnelle en vue de recommander un schéma adapté au contexte, ainsi que les modalités pratiques de mise en oeuvre dans une perspective de libéralisation et de privatisation du secteur électrique;
la révision de la loi sur l’électricité de manière à favoriser le développement d’un secteur concurrentiel et l’établissement d’un régulateur indépendant. Le cadre de régulation régionale est également en cours de mise en place.
la révision de la loi BOT de manière à encourager et à protéger l’investissement privé notamment dans la production hydroélectrique ;
Elaboration d’une étude tarifaire visant la formulation d’une nouvelle politique de tarification comprenant des règles explicites de fixation du tarif et de révision périodique, permettant d’assurer à terme un autofinancement du secteur ;
samedi 20 octobre 2007
FICHES SECTORIELLES DES TRANSPORTS
FICHE SECTORIELLE DU MINISTERE DES TRANSPORTS
BP : 715 – Tél. : 30 41 36 39 – Fax : 30 41 35 77 – Email :
1.CONTEXTE DU SECTEUR
Jusqu'en 1984, le fonctionnement du système des transports était étroitement contrôlé par l'Etat. Les fortes rigidités inhérentes à ce type de fonctionnement en diminuaient très sensiblement l'efficacité et en augmentaient le coût pour l'économie nationale.
Depuis la libéralisation de l’économie et le désengagement de l’Etat des activités commerciales et de prestations de services, la gestion du secteur s’appuie sur les mécanismes du marché.
Dorénavant, le rôle dévolu à l'Etat dans le secteur des transports consiste en :
- la poursuite de son désengagement des activités de transport ;
- la libéralisation du marché des transports par la promotion des conditions d’opération garantissant
la libre entreprise et l’équité de la concurrence ;
- la promotion du secteur privé par des facilitations fiscales et tarifaires, la qualification des
capacités de gestion et l’organisation efficace des groupements et associations socio-
professionnelles;
- la professionnalisation des opérateurs dans leurs activités ;
- le renforcement des capacités de l’Administration des transports, des PME et des associations
socio-professionnnelles;
- l’harmonisation du suivi et du contrôle de l’application du cadre légal et réglementaire.
2.APERCU DU MARCHE:
La physionomie du marché guinéen des transports qui couvre les secteurs routier, ferroviaire, aérien et maritime se présente comme suit:
TRANSPORTS AERIENS:
La Guinée dispose de quatorze (14) aéroports dont onze (11) ouverts à la circulation publique à savoir :
- un aéroport international, Conakry-Gbéssia;
- trois aéroports régionaux : Kankan, Labé, N’Zérékoré,
- sept aéroports secondaires : Boké, Faranah, Fria, Kissidougou, Macenta, Sambailo et Siguiri,
tous avec des pistes en latérite maintenues en bon état.
Par ailleurs, cinq aérodromes exploités exclusivement par des sociétés minières : Gbenko (Compagnie diamantaire), Kamsar et Sangarédi (tous deux de la Compagnie de bauxite CBG), Léro (SMD) et Kiniero (SEMAFO).
Actuellement, le marché est desservi par 13 compagnies aériennes dont
deux (2) Compagnies européennes (Air France et Brussels Air) , six (6) compagnies africaines et cinq (5) compagnies locales.
Le trafic passager international tourne en moyenne autour de 300.000 par an et celui intérieur autour de 15.000 passagers par an.
Le potentiel, bien que restant tributaire du niveau d'activités économique et touristique du pays, laisse présager une augmentation considérable du trafic avec l'avènement des grands projets miniers et donc une croissance remarquable du PIB,excellent indicateur d'évaluation de la demande future de transport aérien.
TRANSPORTS MARITIME ET FLUVIAL
La Guinée dispose de deux ports principaux, le port de Conakry (principal port de commerce) et celui de Kamsar (port minéralier), et d’un certain nombre de petits ports secondaires et de débarcadères.
Le trafic global du Port Autonome de Conakry pour l’année 2006 se chiffre à 6.243.259 Tonnes; soit une croissance de 2,27 % comparativement à la même période en 2005.
Avec une politique de marketing adéquate, de bonnes perspectives s'ouvrent au trafic de commerce général pour le Port de Conakry avec la mise en œuvre du 3ème Projet portuaire, le bitumage de la route le reliant à Bamako et la construction des ouvrages de franchissements.
IL existe un fort potentiel de trafic entre les différentes capitales de la côte ouest africaine qui peut être satisfait par le cabotage.
Le trafic fluvial reste quasiment marginal car tributaire de l'état de navigabilité du fleuve Niger, actuellement sérieusement ensablé.
TRANSPORTS ROUTIERS ET FERROVIAIRES
Le réseau routier de la République de Guinée est long de 43.348 Km, dont 18.278 Km de routes nationales (avec 2.400 Km revêtues), 19.845 Km de routes communautaires ou pistes rurales et 7.625 Km de routes répertoriées non classées.
Contrairement aux réseaux de transports miniers de la CBG ( bauxite), de celui de Friguia (alumine) et de la SBK (bauxite), le trafic sur le réseau ferroviaire public, long de 662 Km, est interrompu depuis plus d’une décennie et la voie se trouve dans un état de délabrement et de démantèlement.
Les flux journaliers de personnes, sur les routes, mesurés en 2000 ont été de 53.532 passagers et sont estimés en 2010 à 95.047 passagers.
Quant aux flux de marchandises, de 2.253.606 Tonnes en 2000, ils sont estimés à 4.175.800 Tonnes en 2010
3.Cadre réglementaire et juridique
Le Cadre législatif et réglementaire pour la participation du secteur privé est défini par :
- le code des activités économiques
- le code des investissements
- la sécurisation des investissements privés
- le droit du travail et la sécurité sociale
- le régime fiscal
- le système douanier
- la Loi L/97/012/AN de juin 1998 autorisant le financement, la construction, l’exploitation, l’entretien et le transfert d’infrastructures de développement par le secteur privé.
Il existe également un cadre réglementaire sectoriel bien défini pour l'accès à la profession de transporteur et l'exercice des activités de transports y compris celles d'auxiliaires. Les différentes exigences sont celles communément admises. Il n'y a aucune barrière discriminatoire. Les textes sont disponibles et consultables.
4.Opportunités d’affaires dans le secteur
Réhabilitation des 40 premiers Km de la voie ferrée publique (train de banlieue pour le transport de personnes et de fret)
Option de réalisation privilégiée : BOT
Réalisation du port sec de Kagbelen à 40 Km (périphérie de Conakry)
Option de réalisation privilégiée : BOT
Possibilité de couplage de sa réalisation avec celle du train de banlieue
Aménagement de 30 ha dans la zone Est du Port de Conakry (en terre-plein remblayé)
Option de réalisation privilégiée : BOT
Possibilité de couplage de sa réalisation avec celle du train de banlieue
Création d’une Société de transport maritime en partenariat avec l’Armement National, la Société Navale Guinéenne (SNG)
Option de réalisation privilégiée : joint venture
Aménagement d’un nouvel aéroport international
Option de réalisation privilégiée : BOT
Création d’une Compagnie aérienne de droit guinéen pour le transport domestique et de voisinage
Option de réalisation privilégiée : privé ou joint venture
En plus de ces projets dont le gouvernement est promoteur, la politique de libéralisation poursuivie encourage la libre initiative dans la mise en place de sociétés privées de transport dans les sous secteurs aérien, maritime et terrestre.
BP : 715 – Tél. : 30 41 36 39 – Fax : 30 41 35 77 – Email :
1.CONTEXTE DU SECTEUR
Jusqu'en 1984, le fonctionnement du système des transports était étroitement contrôlé par l'Etat. Les fortes rigidités inhérentes à ce type de fonctionnement en diminuaient très sensiblement l'efficacité et en augmentaient le coût pour l'économie nationale.
Depuis la libéralisation de l’économie et le désengagement de l’Etat des activités commerciales et de prestations de services, la gestion du secteur s’appuie sur les mécanismes du marché.
Dorénavant, le rôle dévolu à l'Etat dans le secteur des transports consiste en :
- la poursuite de son désengagement des activités de transport ;
- la libéralisation du marché des transports par la promotion des conditions d’opération garantissant
la libre entreprise et l’équité de la concurrence ;
- la promotion du secteur privé par des facilitations fiscales et tarifaires, la qualification des
capacités de gestion et l’organisation efficace des groupements et associations socio-
professionnelles;
- la professionnalisation des opérateurs dans leurs activités ;
- le renforcement des capacités de l’Administration des transports, des PME et des associations
socio-professionnnelles;
- l’harmonisation du suivi et du contrôle de l’application du cadre légal et réglementaire.
2.APERCU DU MARCHE:
La physionomie du marché guinéen des transports qui couvre les secteurs routier, ferroviaire, aérien et maritime se présente comme suit:
TRANSPORTS AERIENS:
La Guinée dispose de quatorze (14) aéroports dont onze (11) ouverts à la circulation publique à savoir :
- un aéroport international, Conakry-Gbéssia;
- trois aéroports régionaux : Kankan, Labé, N’Zérékoré,
- sept aéroports secondaires : Boké, Faranah, Fria, Kissidougou, Macenta, Sambailo et Siguiri,
tous avec des pistes en latérite maintenues en bon état.
Par ailleurs, cinq aérodromes exploités exclusivement par des sociétés minières : Gbenko (Compagnie diamantaire), Kamsar et Sangarédi (tous deux de la Compagnie de bauxite CBG), Léro (SMD) et Kiniero (SEMAFO).
Actuellement, le marché est desservi par 13 compagnies aériennes dont
deux (2) Compagnies européennes (Air France et Brussels Air) , six (6) compagnies africaines et cinq (5) compagnies locales.
Le trafic passager international tourne en moyenne autour de 300.000 par an et celui intérieur autour de 15.000 passagers par an.
Le potentiel, bien que restant tributaire du niveau d'activités économique et touristique du pays, laisse présager une augmentation considérable du trafic avec l'avènement des grands projets miniers et donc une croissance remarquable du PIB,excellent indicateur d'évaluation de la demande future de transport aérien.
TRANSPORTS MARITIME ET FLUVIAL
La Guinée dispose de deux ports principaux, le port de Conakry (principal port de commerce) et celui de Kamsar (port minéralier), et d’un certain nombre de petits ports secondaires et de débarcadères.
Le trafic global du Port Autonome de Conakry pour l’année 2006 se chiffre à 6.243.259 Tonnes; soit une croissance de 2,27 % comparativement à la même période en 2005.
Avec une politique de marketing adéquate, de bonnes perspectives s'ouvrent au trafic de commerce général pour le Port de Conakry avec la mise en œuvre du 3ème Projet portuaire, le bitumage de la route le reliant à Bamako et la construction des ouvrages de franchissements.
IL existe un fort potentiel de trafic entre les différentes capitales de la côte ouest africaine qui peut être satisfait par le cabotage.
Le trafic fluvial reste quasiment marginal car tributaire de l'état de navigabilité du fleuve Niger, actuellement sérieusement ensablé.
TRANSPORTS ROUTIERS ET FERROVIAIRES
Le réseau routier de la République de Guinée est long de 43.348 Km, dont 18.278 Km de routes nationales (avec 2.400 Km revêtues), 19.845 Km de routes communautaires ou pistes rurales et 7.625 Km de routes répertoriées non classées.
Contrairement aux réseaux de transports miniers de la CBG ( bauxite), de celui de Friguia (alumine) et de la SBK (bauxite), le trafic sur le réseau ferroviaire public, long de 662 Km, est interrompu depuis plus d’une décennie et la voie se trouve dans un état de délabrement et de démantèlement.
Les flux journaliers de personnes, sur les routes, mesurés en 2000 ont été de 53.532 passagers et sont estimés en 2010 à 95.047 passagers.
Quant aux flux de marchandises, de 2.253.606 Tonnes en 2000, ils sont estimés à 4.175.800 Tonnes en 2010
3.Cadre réglementaire et juridique
Le Cadre législatif et réglementaire pour la participation du secteur privé est défini par :
- le code des activités économiques
- le code des investissements
- la sécurisation des investissements privés
- le droit du travail et la sécurité sociale
- le régime fiscal
- le système douanier
- la Loi L/97/012/AN de juin 1998 autorisant le financement, la construction, l’exploitation, l’entretien et le transfert d’infrastructures de développement par le secteur privé.
Il existe également un cadre réglementaire sectoriel bien défini pour l'accès à la profession de transporteur et l'exercice des activités de transports y compris celles d'auxiliaires. Les différentes exigences sont celles communément admises. Il n'y a aucune barrière discriminatoire. Les textes sont disponibles et consultables.
4.Opportunités d’affaires dans le secteur
Réhabilitation des 40 premiers Km de la voie ferrée publique (train de banlieue pour le transport de personnes et de fret)
Option de réalisation privilégiée : BOT
Réalisation du port sec de Kagbelen à 40 Km (périphérie de Conakry)
Option de réalisation privilégiée : BOT
Possibilité de couplage de sa réalisation avec celle du train de banlieue
Aménagement de 30 ha dans la zone Est du Port de Conakry (en terre-plein remblayé)
Option de réalisation privilégiée : BOT
Possibilité de couplage de sa réalisation avec celle du train de banlieue
Création d’une Société de transport maritime en partenariat avec l’Armement National, la Société Navale Guinéenne (SNG)
Option de réalisation privilégiée : joint venture
Aménagement d’un nouvel aéroport international
Option de réalisation privilégiée : BOT
Création d’une Compagnie aérienne de droit guinéen pour le transport domestique et de voisinage
Option de réalisation privilégiée : privé ou joint venture
En plus de ces projets dont le gouvernement est promoteur, la politique de libéralisation poursuivie encourage la libre initiative dans la mise en place de sociétés privées de transport dans les sous secteurs aérien, maritime et terrestre.
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