1. Contexte :
La République de Guinée dispose d’un riche potentiel en ressources hydroélectriques qui se traduit en un grand nombre de sites intéressants répartis sur tout le territoire national. Le potentiel hydroélectrique exploitable est estimé à 6000 MW pour une énergie annuelle garantie de 19.300 GWh.
La répartition de ce potentiel hydroélectrique se présente comme suit :
la Guinée Maritime compte 7 grands bassins représentant 2800 MW soit 46% du potentiel total ;
la Moyenne Guinée compte également 7 grands bassins représentant 2600 MW soit 43% du potentiel total ;
la Haute Guinée dispose d’un potentiel estimé à 500 MW soit 8,9% du potentiel total Guinéen. Ce potentiel est réparti entre plusieurs bassins dont les principaux sont le fleuve Niger et ses affluents ;
la Guinée Forestière présente un potentiel de 100 MW soit 2% du potentiel total Guinéen.
Cependant, seul environ 2% est mis en valeur à ce jour.
Ainsi, la Guinée dispose d’une puissance totale installée pour le domaine public de 226,8 MW dont 43,1% en thermique et 56 ,19% en hydraulique répartie comme suit :
- 208,6 MW pour le réseau interconnecté appelé SAMOU – GARAFIRI – KINKON dont 83,4 MW en thermique sur le site de Tombo et 125,2 MW en hydraulique (Centrales du Samou, de Garafiri et de Kinkon).
- 17,8 MW pour les réseaux isolés alimentant 14 préfectures dont 2,2 MW en hydraulique (centrales de Tinkisso, Samankoun et Loffa) et 15,6 MW en thermique diesel.
Le réseau interconnecté fournit environ 90% de la production du réseau public et alimente principalement Conakry.
Par rapport à la production d’énergie électrique nationale, on estime que 52% sont fournis par le service Public dont l’exploitation est assurée par la société Electricité de Guinée ( EDG ), et le reste par les exploitations minières avec une capacité installée totale estimée à 100 MW .
L’accès des populations à l’énergie électrique demeure faible (environ 7,5%) en raison d’une part de l’insuffisance de financement alloué au secteur, et d’autre part des contre performances de EDG caractérisées par : i) une mauvaise desserte et une mauvaise qualité de service en raison de l'état de dégradation des installations de production ainsi que des réseaux de transport et de distribution ;ii) des faiblesses en matière commerciale qui se traduisent par un faible taux de productivité ( environ 40%).
2. Aperçu du marché :
Une étude de la demande en électricité a été faite à l’horizon 2025 dans le cadre de l’étude du plan directeur d’électrification de la Guinée réalisée en 2006 sur financement de la BAD. Les prévisions faites selon une approche désagrégée montrent que c’est le secteur des mines qui occupe la plus grande partie de la consommation avec 47% du total suivi des ménages avec 31%.
A cette demande nationale, il convient d’ajouter les besoins en énergie électrique des pays de la sous région, dont la satisfaction dépend fortement de la production électrique d’origine thermique. En effet, avec le renchérissement des coûts de production thermique du fait de la hausse des prix des produits pétroliers, ces pays sont aujourd’hui fortement intéressés à une offre d’énergie électrique d’origine hydraulique. La réalisation des lignes d’interconnexion en 225 KV des quatre pays ( Gambie,Guinée, Guinée Bissao et Sénégal) dont la mise en service est prévue en 2011 dans le cadre du projet énergie de l’OMVG, offrira les possibilités d’accès à cette demande sous régionale.
3. Cadre réglementaire et juridique :
Le cadre législatif et réglementaire actuel est défini par les textes suivants :
i)La loi L/92/043 du 08 février 1992 portant code des activités économiques. C’est sur la base de cette loi que la privatisation de l’exploitation du service public de l’électricité a été réalisée en 1994 ;
ii)La loi L/93/039/CTRN du 13 septembre 1993 portant réglementation de la Production du transport et de la distribution de l'énergie électrique et qui accorde à l’Entreprise Publique d’électricité le monopole des activités de production, transport et distribution, et confie la fonction de régulation du sous-secteur au Ministère en charge de l’Energie. Cependant, on note depuis octobre 2005 la création sous la tutelle du Ministère de l’Energie d’une agence de régulation de l’énergie ;
iii)La loi L/98/012/ du 1er juin 1998, portant sur le financement, la construction, l’exploitation, l’entretien et le transfert des infrastructures de production développées par les opérateurs privés ( loi BOT ) ;
iv)La loi L/2001/18/ du 23 octobre 2001, relative à l’adoption et à la promulgation de la loi sur la réforme et le désengagement de l’état des Entreprises Publiques.
4. Opportunités d’affaires dans le secteur :
L’investissement dans la production Hydroélectrique. A cet effet, 14 sites hydroélectriques prioritaires ont été identifiés ;
L’investissement dans la distribution d’énergie électrique par le biais de concessions ;
L’acquisition d’équipements électriques pour les réseaux de transport et de distribution sous la forme de crédits fournisseurs ;
Pour se donner les moyens d’atteindre ces objectifs, le Gouvernement Guinéen a entrepris un certain nombre de mesures d’ordre institutionnel :
Elaboration d’une nouvelle lettre de politique de développement du secteur de l’énergie sur financement de l’IDA dont les orientations fondamentales sont axées entre autres sur:
la restructuration du sous secteur de l’électricité en vue d’une plus grande efficacité et par l’implication judicieuse du secteur privé dans l’investissement et la gestion aussi bien de EDG que de l’électrification rurale;
la mise en valeur du potentiel hydroélectrique en prenant en compte les possibilités d’interconnexion dans le cadre du WAPP et de l’OMVG. A cet effet, la Guinée a ratifié le « Protocole de l’Energie » pour le libre accès au réseau électrique, élaboré par la CEDEAO dans le cadre du power pool ouest africain (WAPP) dans le but d’améliorer considérablement les conditions de développement du potentiel hydroélectrique. L’objectif étant de mettre en oeuvre une politique volontariste de réalisation des infrastructures à caractère sous régional afin d’accroître la taille des marchés énergétiques et de faire bénéficier les pays faiblement dotés, de l’abondance énergétique des pays excédentaires, à travers notamment les réseaux d’interconnexion électriques .
la relance du processus de la réforme institutionnelle du sous secteur de l’électricité. Dans ce cadre, le Gouvernement Guinéen envisage l’élaboration d’une étude institutionnelle en vue de recommander un schéma adapté au contexte, ainsi que les modalités pratiques de mise en oeuvre dans une perspective de libéralisation et de privatisation du secteur électrique;
la révision de la loi sur l’électricité de manière à favoriser le développement d’un secteur concurrentiel et l’établissement d’un régulateur indépendant. Le cadre de régulation régionale est également en cours de mise en place.
la révision de la loi BOT de manière à encourager et à protéger l’investissement privé notamment dans la production hydroélectrique ;
Elaboration d’une étude tarifaire visant la formulation d’une nouvelle politique de tarification comprenant des règles explicites de fixation du tarif et de révision périodique, permettant d’assurer à terme un autofinancement du secteur ;
samedi 20 octobre 2007
FICHES SECTORIELLES DES TRANSPORTS
FICHE SECTORIELLE DU MINISTERE DES TRANSPORTS
BP : 715 – Tél. : 30 41 36 39 – Fax : 30 41 35 77 – Email :
1.CONTEXTE DU SECTEUR
Jusqu'en 1984, le fonctionnement du système des transports était étroitement contrôlé par l'Etat. Les fortes rigidités inhérentes à ce type de fonctionnement en diminuaient très sensiblement l'efficacité et en augmentaient le coût pour l'économie nationale.
Depuis la libéralisation de l’économie et le désengagement de l’Etat des activités commerciales et de prestations de services, la gestion du secteur s’appuie sur les mécanismes du marché.
Dorénavant, le rôle dévolu à l'Etat dans le secteur des transports consiste en :
- la poursuite de son désengagement des activités de transport ;
- la libéralisation du marché des transports par la promotion des conditions d’opération garantissant
la libre entreprise et l’équité de la concurrence ;
- la promotion du secteur privé par des facilitations fiscales et tarifaires, la qualification des
capacités de gestion et l’organisation efficace des groupements et associations socio-
professionnelles;
- la professionnalisation des opérateurs dans leurs activités ;
- le renforcement des capacités de l’Administration des transports, des PME et des associations
socio-professionnnelles;
- l’harmonisation du suivi et du contrôle de l’application du cadre légal et réglementaire.
2.APERCU DU MARCHE:
La physionomie du marché guinéen des transports qui couvre les secteurs routier, ferroviaire, aérien et maritime se présente comme suit:
TRANSPORTS AERIENS:
La Guinée dispose de quatorze (14) aéroports dont onze (11) ouverts à la circulation publique à savoir :
- un aéroport international, Conakry-Gbéssia;
- trois aéroports régionaux : Kankan, Labé, N’Zérékoré,
- sept aéroports secondaires : Boké, Faranah, Fria, Kissidougou, Macenta, Sambailo et Siguiri,
tous avec des pistes en latérite maintenues en bon état.
Par ailleurs, cinq aérodromes exploités exclusivement par des sociétés minières : Gbenko (Compagnie diamantaire), Kamsar et Sangarédi (tous deux de la Compagnie de bauxite CBG), Léro (SMD) et Kiniero (SEMAFO).
Actuellement, le marché est desservi par 13 compagnies aériennes dont
deux (2) Compagnies européennes (Air France et Brussels Air) , six (6) compagnies africaines et cinq (5) compagnies locales.
Le trafic passager international tourne en moyenne autour de 300.000 par an et celui intérieur autour de 15.000 passagers par an.
Le potentiel, bien que restant tributaire du niveau d'activités économique et touristique du pays, laisse présager une augmentation considérable du trafic avec l'avènement des grands projets miniers et donc une croissance remarquable du PIB,excellent indicateur d'évaluation de la demande future de transport aérien.
TRANSPORTS MARITIME ET FLUVIAL
La Guinée dispose de deux ports principaux, le port de Conakry (principal port de commerce) et celui de Kamsar (port minéralier), et d’un certain nombre de petits ports secondaires et de débarcadères.
Le trafic global du Port Autonome de Conakry pour l’année 2006 se chiffre à 6.243.259 Tonnes; soit une croissance de 2,27 % comparativement à la même période en 2005.
Avec une politique de marketing adéquate, de bonnes perspectives s'ouvrent au trafic de commerce général pour le Port de Conakry avec la mise en œuvre du 3ème Projet portuaire, le bitumage de la route le reliant à Bamako et la construction des ouvrages de franchissements.
IL existe un fort potentiel de trafic entre les différentes capitales de la côte ouest africaine qui peut être satisfait par le cabotage.
Le trafic fluvial reste quasiment marginal car tributaire de l'état de navigabilité du fleuve Niger, actuellement sérieusement ensablé.
TRANSPORTS ROUTIERS ET FERROVIAIRES
Le réseau routier de la République de Guinée est long de 43.348 Km, dont 18.278 Km de routes nationales (avec 2.400 Km revêtues), 19.845 Km de routes communautaires ou pistes rurales et 7.625 Km de routes répertoriées non classées.
Contrairement aux réseaux de transports miniers de la CBG ( bauxite), de celui de Friguia (alumine) et de la SBK (bauxite), le trafic sur le réseau ferroviaire public, long de 662 Km, est interrompu depuis plus d’une décennie et la voie se trouve dans un état de délabrement et de démantèlement.
Les flux journaliers de personnes, sur les routes, mesurés en 2000 ont été de 53.532 passagers et sont estimés en 2010 à 95.047 passagers.
Quant aux flux de marchandises, de 2.253.606 Tonnes en 2000, ils sont estimés à 4.175.800 Tonnes en 2010
3.Cadre réglementaire et juridique
Le Cadre législatif et réglementaire pour la participation du secteur privé est défini par :
- le code des activités économiques
- le code des investissements
- la sécurisation des investissements privés
- le droit du travail et la sécurité sociale
- le régime fiscal
- le système douanier
- la Loi L/97/012/AN de juin 1998 autorisant le financement, la construction, l’exploitation, l’entretien et le transfert d’infrastructures de développement par le secteur privé.
Il existe également un cadre réglementaire sectoriel bien défini pour l'accès à la profession de transporteur et l'exercice des activités de transports y compris celles d'auxiliaires. Les différentes exigences sont celles communément admises. Il n'y a aucune barrière discriminatoire. Les textes sont disponibles et consultables.
4.Opportunités d’affaires dans le secteur
Réhabilitation des 40 premiers Km de la voie ferrée publique (train de banlieue pour le transport de personnes et de fret)
Option de réalisation privilégiée : BOT
Réalisation du port sec de Kagbelen à 40 Km (périphérie de Conakry)
Option de réalisation privilégiée : BOT
Possibilité de couplage de sa réalisation avec celle du train de banlieue
Aménagement de 30 ha dans la zone Est du Port de Conakry (en terre-plein remblayé)
Option de réalisation privilégiée : BOT
Possibilité de couplage de sa réalisation avec celle du train de banlieue
Création d’une Société de transport maritime en partenariat avec l’Armement National, la Société Navale Guinéenne (SNG)
Option de réalisation privilégiée : joint venture
Aménagement d’un nouvel aéroport international
Option de réalisation privilégiée : BOT
Création d’une Compagnie aérienne de droit guinéen pour le transport domestique et de voisinage
Option de réalisation privilégiée : privé ou joint venture
En plus de ces projets dont le gouvernement est promoteur, la politique de libéralisation poursuivie encourage la libre initiative dans la mise en place de sociétés privées de transport dans les sous secteurs aérien, maritime et terrestre.
BP : 715 – Tél. : 30 41 36 39 – Fax : 30 41 35 77 – Email :
1.CONTEXTE DU SECTEUR
Jusqu'en 1984, le fonctionnement du système des transports était étroitement contrôlé par l'Etat. Les fortes rigidités inhérentes à ce type de fonctionnement en diminuaient très sensiblement l'efficacité et en augmentaient le coût pour l'économie nationale.
Depuis la libéralisation de l’économie et le désengagement de l’Etat des activités commerciales et de prestations de services, la gestion du secteur s’appuie sur les mécanismes du marché.
Dorénavant, le rôle dévolu à l'Etat dans le secteur des transports consiste en :
- la poursuite de son désengagement des activités de transport ;
- la libéralisation du marché des transports par la promotion des conditions d’opération garantissant
la libre entreprise et l’équité de la concurrence ;
- la promotion du secteur privé par des facilitations fiscales et tarifaires, la qualification des
capacités de gestion et l’organisation efficace des groupements et associations socio-
professionnelles;
- la professionnalisation des opérateurs dans leurs activités ;
- le renforcement des capacités de l’Administration des transports, des PME et des associations
socio-professionnnelles;
- l’harmonisation du suivi et du contrôle de l’application du cadre légal et réglementaire.
2.APERCU DU MARCHE:
La physionomie du marché guinéen des transports qui couvre les secteurs routier, ferroviaire, aérien et maritime se présente comme suit:
TRANSPORTS AERIENS:
La Guinée dispose de quatorze (14) aéroports dont onze (11) ouverts à la circulation publique à savoir :
- un aéroport international, Conakry-Gbéssia;
- trois aéroports régionaux : Kankan, Labé, N’Zérékoré,
- sept aéroports secondaires : Boké, Faranah, Fria, Kissidougou, Macenta, Sambailo et Siguiri,
tous avec des pistes en latérite maintenues en bon état.
Par ailleurs, cinq aérodromes exploités exclusivement par des sociétés minières : Gbenko (Compagnie diamantaire), Kamsar et Sangarédi (tous deux de la Compagnie de bauxite CBG), Léro (SMD) et Kiniero (SEMAFO).
Actuellement, le marché est desservi par 13 compagnies aériennes dont
deux (2) Compagnies européennes (Air France et Brussels Air) , six (6) compagnies africaines et cinq (5) compagnies locales.
Le trafic passager international tourne en moyenne autour de 300.000 par an et celui intérieur autour de 15.000 passagers par an.
Le potentiel, bien que restant tributaire du niveau d'activités économique et touristique du pays, laisse présager une augmentation considérable du trafic avec l'avènement des grands projets miniers et donc une croissance remarquable du PIB,excellent indicateur d'évaluation de la demande future de transport aérien.
TRANSPORTS MARITIME ET FLUVIAL
La Guinée dispose de deux ports principaux, le port de Conakry (principal port de commerce) et celui de Kamsar (port minéralier), et d’un certain nombre de petits ports secondaires et de débarcadères.
Le trafic global du Port Autonome de Conakry pour l’année 2006 se chiffre à 6.243.259 Tonnes; soit une croissance de 2,27 % comparativement à la même période en 2005.
Avec une politique de marketing adéquate, de bonnes perspectives s'ouvrent au trafic de commerce général pour le Port de Conakry avec la mise en œuvre du 3ème Projet portuaire, le bitumage de la route le reliant à Bamako et la construction des ouvrages de franchissements.
IL existe un fort potentiel de trafic entre les différentes capitales de la côte ouest africaine qui peut être satisfait par le cabotage.
Le trafic fluvial reste quasiment marginal car tributaire de l'état de navigabilité du fleuve Niger, actuellement sérieusement ensablé.
TRANSPORTS ROUTIERS ET FERROVIAIRES
Le réseau routier de la République de Guinée est long de 43.348 Km, dont 18.278 Km de routes nationales (avec 2.400 Km revêtues), 19.845 Km de routes communautaires ou pistes rurales et 7.625 Km de routes répertoriées non classées.
Contrairement aux réseaux de transports miniers de la CBG ( bauxite), de celui de Friguia (alumine) et de la SBK (bauxite), le trafic sur le réseau ferroviaire public, long de 662 Km, est interrompu depuis plus d’une décennie et la voie se trouve dans un état de délabrement et de démantèlement.
Les flux journaliers de personnes, sur les routes, mesurés en 2000 ont été de 53.532 passagers et sont estimés en 2010 à 95.047 passagers.
Quant aux flux de marchandises, de 2.253.606 Tonnes en 2000, ils sont estimés à 4.175.800 Tonnes en 2010
3.Cadre réglementaire et juridique
Le Cadre législatif et réglementaire pour la participation du secteur privé est défini par :
- le code des activités économiques
- le code des investissements
- la sécurisation des investissements privés
- le droit du travail et la sécurité sociale
- le régime fiscal
- le système douanier
- la Loi L/97/012/AN de juin 1998 autorisant le financement, la construction, l’exploitation, l’entretien et le transfert d’infrastructures de développement par le secteur privé.
Il existe également un cadre réglementaire sectoriel bien défini pour l'accès à la profession de transporteur et l'exercice des activités de transports y compris celles d'auxiliaires. Les différentes exigences sont celles communément admises. Il n'y a aucune barrière discriminatoire. Les textes sont disponibles et consultables.
4.Opportunités d’affaires dans le secteur
Réhabilitation des 40 premiers Km de la voie ferrée publique (train de banlieue pour le transport de personnes et de fret)
Option de réalisation privilégiée : BOT
Réalisation du port sec de Kagbelen à 40 Km (périphérie de Conakry)
Option de réalisation privilégiée : BOT
Possibilité de couplage de sa réalisation avec celle du train de banlieue
Aménagement de 30 ha dans la zone Est du Port de Conakry (en terre-plein remblayé)
Option de réalisation privilégiée : BOT
Possibilité de couplage de sa réalisation avec celle du train de banlieue
Création d’une Société de transport maritime en partenariat avec l’Armement National, la Société Navale Guinéenne (SNG)
Option de réalisation privilégiée : joint venture
Aménagement d’un nouvel aéroport international
Option de réalisation privilégiée : BOT
Création d’une Compagnie aérienne de droit guinéen pour le transport domestique et de voisinage
Option de réalisation privilégiée : privé ou joint venture
En plus de ces projets dont le gouvernement est promoteur, la politique de libéralisation poursuivie encourage la libre initiative dans la mise en place de sociétés privées de transport dans les sous secteurs aérien, maritime et terrestre.
samedi 29 septembre 2007
Fiche sectorielle Pêches Version 2. A. A. KABA
MINISTERE DE LA PECHE ET DE L’AQUACULTURE
FORUM « INVESTIR EN GUINEE » - PARIS, 10 et 11 DECEMBRE 2007
PROJET DE FICHE SECTORIELLE
MINISTERE DE LA PECHE ET DE L’AQUACULTURE
BP : 307 Tél : (224) 30.41.36.60 / 30.41.35.23 / 30.41.43.10 / 30.41.52.30 / 30.41.12.58
FAX : (224) 30.41.35.23 / 30.41.36.60 / 30.41.19.26
E.MAIL :
Conakry, République de Guinée.
LES INSTITUTIONS
Le Ministère de la Pêche et de l'Aquaculture a pour mission la conception, l'élaboration, la mise en œuvre et le suivi de la politique du Gouvernement dans les domaines de la pêche et de l'aquaculture.
Pour accomplir sa mission, le Ministère de la Pêche et de l'Aquaculture comprend :
- un Secrétariat Général ;
- un Cabinet ;
-Six Services d'Appui :
-Deux Directions Nationales :
-Un Service Rattaché :
-Trois Etablissements Publics :
-Des services déconcentrés territoriaux.
POLITIQUE DE DEVELOPPEMENT
La République de Guinée, en raison de l'importance de son plateau continental, de la densité de son réseau hydrographique, de son littoral bordé d'importantes forêts de mangroves, dispose d'un environnement particulièrement favorable au développement des ressources halieutiques.
En vue de l'exploitation durable de ces, le Gouvernement de la République de Guinée a adopté une politique de développement dont l'objectif global vise la maximisation des bénéfices économiques et sociaux que le pays peut en tirer tout en veillant à la protection de l'environnement.
Les objectifs spécifiques portent sur la sécurité alimentaire par la disponibilité en poisson, la génération de revenus pour les intervenants impliqués dans les différentes filières et pour le trésor public, la création d'emplois.
Pour atteindre ces objectifs, la politique adoptée pour le secteur de la pêche s'appuie sur quatre (04) axes stratégiques :
* La maîtrise de l'exploitation par le renforcement des capacités de recherche et de surveillance, afin de garantir la pérennité des rendements et des revenus ;
* L'appui direct aux communautés villageoises, aux opérateurs de pêche artisanale et industrielle et aux organisations socioprofessionnelles du secteur ;
* La mise en place d'une industrie nationale des pêches répondant aux normes de qualité ;
* Le renforcement des capacités de l'administration des pêches.
CADRE JURIDIQUE ET REGLEMENTAIRE
Les activités de pêche et d’Aquaculture sont régies par:
1. Le Code des investissements
2. La Loi L95/13/CTRN du 15 mai 1995, portant Code de la Pêche maritime ;
3. Le Décret D/97/227/PRG/SGG du 16 octobre 1997, portant Règlement Général de mise en œuvre du Code de la Pêche maritime de la République de Guinée ;
4. L’arrêté N° 00676/MPA/SGG/2006 du 2 février 2006, portant Réglementation la pêche artisanale en République de Guinée ;
5. la loi L/96 007/ AN du portant organisation de la pêche continentale
6. Le Décret D/97/017/PRG/SGG du 19 février 1997, fixant les amendes aux infractions du Code de la Pêche maritime ;
7. Le Décret D/97/018/PRG/SGG du 19 février 1997, portant Répartition des amendes perçues au titre des infractions au Code de la Pêche maritime ;
8. L’Arrêté N° 07439/MPA/SGG/2007 du 26 décembre 2006, portant Plan de Gestion et d’Aménagement des Pêcheries 2007
9. …………contrôle qualité des produits de pêche.
Pour chaque année, le Ministère de la Pêche et l’Aquaculture publie le Plan d’Aménagement de Pêcheries, qui fixe les conditions techniques et économiques dans lesquelles la campagne de pêche concernée doit se dérouler.
LES RESSOURCES HALIEUTIQUES
Ressources pélagiques :
°Espèces très côtières constituées par les sardinelles plates et les ethmaloses exploitées uniquement par la pêche artisanale ;
°Sardinelles rondes et chinchards, exploitées par des chalutiers pélagiques ;
°Les thonidés (albacore, patudo, listao) constituent une ressource hauturière saisonnière.
Ressources démersales :
°Sur les fonds de vase, une communauté à sciaenidés vivant dans les eaux chaudes et déssalées jusqu’à une profondeur de 15m. Les principales espèces sont les otholites, les mâchoirons et les grondeurs ;
°Sur les fonds de sable jusqu’à 60 milles de large et jusqu’à une profondeur de 60m, vit une communauté à sparidés composée d’espèces d’affinité d’eaux froides et salées ;
°Au-delà de 80-100m, il existe une communauté profonde typique des fonds vaseux vivant jusqu’à des profondeurs de 1000m. Elle constitue une importante biomasse de crabes et de crevettes.
POTENTIEL EXPLOITABLE PAR AN
a- Petits pélagiques : 100.000 à 200.000 tonnes ;
b- Poissons démersaux : 29.000 à 32.000 tonnes ;
c- Crevettes : 2000 à 4.000 tonnes ;
d- Céphalopodes : 4.500 à 11.000 tonnes ;
e- Pour la pêche continentale, le potentiel est estimé à 12.000 tonnes ;
f- Pour la pisciculture, les quatre (4) régions naturelles que compte le pays sont toutes favorables au développement de la pisciculture avec un accent marqué pour la Guinée Forestière ;
g- en ce qui concerne la crevetticulture, le potentiel est estimé à 30.000 ha de plaines aménageables.
OPERATEURS DU SECTEUR
1- Sociétés de Pêche industrielle :
-
-
2- Entreprises d’exportation des produits halieutiques:
-
-
3- Port Autonome de Conakry :
Commune de Kaloum BP 805 Conakry, République de Guinée Tél : (224) 30.41.27.28 / 30.41.26.04
Fax : (224)30.41.25.95 E.MAIL pac@biasy.net
4- Sociétés de Transit et de Consignation :
a- GETMA
Cité Chemins de fer-immeuble Kassa Commune de Kaloum BP : 1648 Conakry, Tél : (224) 30.41.32.05 / 30.41.42.78 / 30.45.49.93
Fax : (224)30.41.42.73 / 30.40.42.00 / 30.45.47.30 www.getma.com
E.MAIL : shipping@getmaguinee.com / tramp@amaguinee.com
b- TRANSCO
3ème avenue Boulbinet BP 3871 Conakry Tél : (224) 30.41.22.74 / 30.41.28.84 / 30.43.00.62
Fax : 30.41.41.84 / 30.45.20.45 E.MAIL transco@transcogui.com.gn
c- MAERSK LINE
Commune de Kaloum BP : 1166 Conakry – Tél (224) 30.45.55.65 Fax : (224) 30.45.55.70
E.MAIL ckrymn@maersk.com
Compagnies de transport aérien
a- AIR FRANCE
b- SN BRUXELLES
c- ROYAL AIR MAROC
-
Organisation Socioprofessionnelle
-Importateurs de matériels et équipements de pêche
Des renseignements actualisés seront fournis.
Nb : introduire des images à partir d un lot qui sera proposé
FORUM « INVESTIR EN GUINEE » - PARIS, 10 et 11 DECEMBRE 2007
PROJET DE FICHE SECTORIELLE
MINISTERE DE LA PECHE ET DE L’AQUACULTURE
BP : 307 Tél : (224) 30.41.36.60 / 30.41.35.23 / 30.41.43.10 / 30.41.52.30 / 30.41.12.58
FAX : (224) 30.41.35.23 / 30.41.36.60 / 30.41.19.26
E.MAIL :
Conakry, République de Guinée.
LES INSTITUTIONS
Le Ministère de la Pêche et de l'Aquaculture a pour mission la conception, l'élaboration, la mise en œuvre et le suivi de la politique du Gouvernement dans les domaines de la pêche et de l'aquaculture.
Pour accomplir sa mission, le Ministère de la Pêche et de l'Aquaculture comprend :
- un Secrétariat Général ;
- un Cabinet ;
-Six Services d'Appui :
-Deux Directions Nationales :
-Un Service Rattaché :
-Trois Etablissements Publics :
-Des services déconcentrés territoriaux.
POLITIQUE DE DEVELOPPEMENT
La République de Guinée, en raison de l'importance de son plateau continental, de la densité de son réseau hydrographique, de son littoral bordé d'importantes forêts de mangroves, dispose d'un environnement particulièrement favorable au développement des ressources halieutiques.
En vue de l'exploitation durable de ces, le Gouvernement de la République de Guinée a adopté une politique de développement dont l'objectif global vise la maximisation des bénéfices économiques et sociaux que le pays peut en tirer tout en veillant à la protection de l'environnement.
Les objectifs spécifiques portent sur la sécurité alimentaire par la disponibilité en poisson, la génération de revenus pour les intervenants impliqués dans les différentes filières et pour le trésor public, la création d'emplois.
Pour atteindre ces objectifs, la politique adoptée pour le secteur de la pêche s'appuie sur quatre (04) axes stratégiques :
* La maîtrise de l'exploitation par le renforcement des capacités de recherche et de surveillance, afin de garantir la pérennité des rendements et des revenus ;
* L'appui direct aux communautés villageoises, aux opérateurs de pêche artisanale et industrielle et aux organisations socioprofessionnelles du secteur ;
* La mise en place d'une industrie nationale des pêches répondant aux normes de qualité ;
* Le renforcement des capacités de l'administration des pêches.
CADRE JURIDIQUE ET REGLEMENTAIRE
Les activités de pêche et d’Aquaculture sont régies par:
1. Le Code des investissements
2. La Loi L95/13/CTRN du 15 mai 1995, portant Code de la Pêche maritime ;
3. Le Décret D/97/227/PRG/SGG du 16 octobre 1997, portant Règlement Général de mise en œuvre du Code de la Pêche maritime de la République de Guinée ;
4. L’arrêté N° 00676/MPA/SGG/2006 du 2 février 2006, portant Réglementation la pêche artisanale en République de Guinée ;
5. la loi L/96 007/ AN du portant organisation de la pêche continentale
6. Le Décret D/97/017/PRG/SGG du 19 février 1997, fixant les amendes aux infractions du Code de la Pêche maritime ;
7. Le Décret D/97/018/PRG/SGG du 19 février 1997, portant Répartition des amendes perçues au titre des infractions au Code de la Pêche maritime ;
8. L’Arrêté N° 07439/MPA/SGG/2007 du 26 décembre 2006, portant Plan de Gestion et d’Aménagement des Pêcheries 2007
9. …………contrôle qualité des produits de pêche.
Pour chaque année, le Ministère de la Pêche et l’Aquaculture publie le Plan d’Aménagement de Pêcheries, qui fixe les conditions techniques et économiques dans lesquelles la campagne de pêche concernée doit se dérouler.
LES RESSOURCES HALIEUTIQUES
Ressources pélagiques :
°Espèces très côtières constituées par les sardinelles plates et les ethmaloses exploitées uniquement par la pêche artisanale ;
°Sardinelles rondes et chinchards, exploitées par des chalutiers pélagiques ;
°Les thonidés (albacore, patudo, listao) constituent une ressource hauturière saisonnière.
Ressources démersales :
°Sur les fonds de vase, une communauté à sciaenidés vivant dans les eaux chaudes et déssalées jusqu’à une profondeur de 15m. Les principales espèces sont les otholites, les mâchoirons et les grondeurs ;
°Sur les fonds de sable jusqu’à 60 milles de large et jusqu’à une profondeur de 60m, vit une communauté à sparidés composée d’espèces d’affinité d’eaux froides et salées ;
°Au-delà de 80-100m, il existe une communauté profonde typique des fonds vaseux vivant jusqu’à des profondeurs de 1000m. Elle constitue une importante biomasse de crabes et de crevettes.
POTENTIEL EXPLOITABLE PAR AN
a- Petits pélagiques : 100.000 à 200.000 tonnes ;
b- Poissons démersaux : 29.000 à 32.000 tonnes ;
c- Crevettes : 2000 à 4.000 tonnes ;
d- Céphalopodes : 4.500 à 11.000 tonnes ;
e- Pour la pêche continentale, le potentiel est estimé à 12.000 tonnes ;
f- Pour la pisciculture, les quatre (4) régions naturelles que compte le pays sont toutes favorables au développement de la pisciculture avec un accent marqué pour la Guinée Forestière ;
g- en ce qui concerne la crevetticulture, le potentiel est estimé à 30.000 ha de plaines aménageables.
OPERATEURS DU SECTEUR
1- Sociétés de Pêche industrielle :
-
-
2- Entreprises d’exportation des produits halieutiques:
-
-
3- Port Autonome de Conakry :
Commune de Kaloum BP 805 Conakry, République de Guinée Tél : (224) 30.41.27.28 / 30.41.26.04
Fax : (224)30.41.25.95 E.MAIL pac@biasy.net
4- Sociétés de Transit et de Consignation :
a- GETMA
Cité Chemins de fer-immeuble Kassa Commune de Kaloum BP : 1648 Conakry, Tél : (224) 30.41.32.05 / 30.41.42.78 / 30.45.49.93
Fax : (224)30.41.42.73 / 30.40.42.00 / 30.45.47.30 www.getma.com
E.MAIL : shipping@getmaguinee.com / tramp@amaguinee.com
b- TRANSCO
3ème avenue Boulbinet BP 3871 Conakry Tél : (224) 30.41.22.74 / 30.41.28.84 / 30.43.00.62
Fax : 30.41.41.84 / 30.45.20.45 E.MAIL transco@transcogui.com.gn
c- MAERSK LINE
Commune de Kaloum BP : 1166 Conakry – Tél (224) 30.45.55.65 Fax : (224) 30.45.55.70
E.MAIL ckrymn@maersk.com
Compagnies de transport aérien
a- AIR FRANCE
b- SN BRUXELLES
c- ROYAL AIR MAROC
-
Organisation Socioprofessionnelle
-Importateurs de matériels et équipements de pêche
Des renseignements actualisés seront fournis.
Nb : introduire des images à partir d un lot qui sera proposé
jeudi 20 septembre 2007
Présentation MCNTI/ M. Baldé
FICHE SECTORIELLE DE LA COMMUNICATION ET DES NOUVELLES TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION
1. CONTEXTE :
Promotion des potentialités du secteur focalisées essentiellement sur:
- le renforcement et l’exploitation des infrastructures dans le secteur des télécommunications et des nouvelles technologies de l’information ;
- la promotion des services et produits à valeur ajoutée
2. APERCU DU MARCHE :
2.1 Etat des lieux :
Le marché est entièrement ouvert à la concurrence aussi bien pour les services de base que pour les services à valeur ajoutée :
Investissements : Il faut noter l’existence de :
- 5 opérateurs de Télécommunications spécifiquement dans le
Mobile dont un en cours d’installation et parmi lesquels figure l’opérateur historique ;
- 1 exploitant public postal et de 9 Sociétés de messageries ;
- 10 fournisseurs d’accès Internet ;
- 10 stations de radios diffusions privées ;
- 20 organes de presses qui paraissent ;
- 1 station nationale de Télévision
Services Offerts :
- Téléphonie Mobile de type GSM ;
- Téléphonie fixe sur réseau de câble et à BLR (CDMA) ;
- Internet ;
- Informations et Communications.
Consommateurs :
- Taux de pénétration de la téléphonie (mobile et fixe) : 10%
- Taux de pénétration des NTI <1%
- Taux de couverture radiodiffusion : 75%
- Taux de couverture télévision : 45%
2.1 Accessibilité :
Le marché dans le secteur est accessible sous diverses formes :
- Partenariat avec apport de capital
- Appel à la concurrence
- Concession et/ou attribution de licence d’exploitation
2.2 Le défi :
Le renforcement des infrastructures et le développement des produits et services offerts doivent permettre la réduction de la facture numérique par une couverture optimale du territoire national.
Le Plan d’Actions à l’horizon 2010 prévoit, à cet effet, porter:
- le taux moyen de pénétration téléphonique de 7.6 à 25% ;
- le taux moyen de pénétration Internet de 0.5 à 25% ;
- le taux de couverture Radiodiffusion de 75 à 95%
- le taux de couverture Télévision de 45 à 80%
- la bande passante internet de 512Kb/s à 25Mb/s
3 CADRAGE :
Le cadre réglementaire et juridique est caractérisé par :
- L’existence des lois réglementant le secteur des Postes et télécommunications ;
- La libéralisation du secteur des Postes, Télécommunications et de l’Audiovisuel ;
- La création d’une Autorité de Régulation des Postes ;
- La création du Conseil National de Régulation des Postes et Télécommunications
- L’existence d’un Conseil National de la Communication ;
4 OPPORTUNITES :
4.1 Télécommunication et NTI :
- Renforcement des infrastructures de Sotelgui (Opérateur Historique) en partenariat ou par crédit fournisseur dont les termes sont à convenir avec les parties. Trois projets sont envisagés :
Projet de câble sous-marin pour assurer la connexion alternative pour les liaisons internationales actuellement et exclusivement par satellite ;
Projet de construction de Backbone national pour remplacer les infrastructures des grands axes de transmission par faisceaux hertziens par des équipements à fibre optique de grandes capacités ;
Projet de Réseau de téléphonie rurale par Boucle locale.
- Promotion des services à valeur ajoutée et des nouvelles technologies de l’Information ouverts à la concurrence avec concession et licence d’exploitation :
Ouverture de nouveaux réseaux basés sur les nouvelles technologies WIFI, WIMAX, CDMA ;
Développement et vulgarisation de l’Internet à travers des infrastructures de larges bandes.
- Création de technopôles TIC pour :
Inciter les investisseurs dans le secteur TIC ;
Concrétiser le partenariat public privé, base de la politique de développement du secteur ;
Appuyer la formation des techniciens de tout niveau pour renforcer la capacité des Ressources humaines indispensable au développement du haut débit national et international.
4.2 Poste :
Filialisation des Produits à valeur ajoutée de l’Office de la Poste Guinéenne (Opérateur Public) avec participation des investisseurs privés à hauteur de 51 % :
Les services financiers de la poste : Comptes de chèques postaux, Caisse Nationale d’Epargne, Porte-monnaie électronique, Transfert électronique d’Argent, Produits d’assurance, Paiement des factures commerciales, Cartes salaire ;
Transport colis et logistique ;
Courrier accéléré
4.3 Communication:
- Construction et équipement en partenariat public - privé d’une imprimerie pour la presse nationale (publique et privée) ;
- Ouverture de l’espace Audiovisuel :
Stations de Radiodiffusion Privées
Stations de Télévisions Privées
- Coproduction de films guinéens dont trois sont actuellement disponibles :
Un feuilleton télévisuel de 120 épisodes d’une durée de 26 mn chacun,
Le salaire de la nuit, un long métrage,
La charte de Kouroukanfouga
1. CONTEXTE :
Promotion des potentialités du secteur focalisées essentiellement sur:
- le renforcement et l’exploitation des infrastructures dans le secteur des télécommunications et des nouvelles technologies de l’information ;
- la promotion des services et produits à valeur ajoutée
2. APERCU DU MARCHE :
2.1 Etat des lieux :
Le marché est entièrement ouvert à la concurrence aussi bien pour les services de base que pour les services à valeur ajoutée :
Investissements : Il faut noter l’existence de :
- 5 opérateurs de Télécommunications spécifiquement dans le
Mobile dont un en cours d’installation et parmi lesquels figure l’opérateur historique ;
- 1 exploitant public postal et de 9 Sociétés de messageries ;
- 10 fournisseurs d’accès Internet ;
- 10 stations de radios diffusions privées ;
- 20 organes de presses qui paraissent ;
- 1 station nationale de Télévision
Services Offerts :
- Téléphonie Mobile de type GSM ;
- Téléphonie fixe sur réseau de câble et à BLR (CDMA) ;
- Internet ;
- Informations et Communications.
Consommateurs :
- Taux de pénétration de la téléphonie (mobile et fixe) : 10%
- Taux de pénétration des NTI <1%
- Taux de couverture radiodiffusion : 75%
- Taux de couverture télévision : 45%
2.1 Accessibilité :
Le marché dans le secteur est accessible sous diverses formes :
- Partenariat avec apport de capital
- Appel à la concurrence
- Concession et/ou attribution de licence d’exploitation
2.2 Le défi :
Le renforcement des infrastructures et le développement des produits et services offerts doivent permettre la réduction de la facture numérique par une couverture optimale du territoire national.
Le Plan d’Actions à l’horizon 2010 prévoit, à cet effet, porter:
- le taux moyen de pénétration téléphonique de 7.6 à 25% ;
- le taux moyen de pénétration Internet de 0.5 à 25% ;
- le taux de couverture Radiodiffusion de 75 à 95%
- le taux de couverture Télévision de 45 à 80%
- la bande passante internet de 512Kb/s à 25Mb/s
3 CADRAGE :
Le cadre réglementaire et juridique est caractérisé par :
- L’existence des lois réglementant le secteur des Postes et télécommunications ;
- La libéralisation du secteur des Postes, Télécommunications et de l’Audiovisuel ;
- La création d’une Autorité de Régulation des Postes ;
- La création du Conseil National de Régulation des Postes et Télécommunications
- L’existence d’un Conseil National de la Communication ;
4 OPPORTUNITES :
4.1 Télécommunication et NTI :
- Renforcement des infrastructures de Sotelgui (Opérateur Historique) en partenariat ou par crédit fournisseur dont les termes sont à convenir avec les parties. Trois projets sont envisagés :
Projet de câble sous-marin pour assurer la connexion alternative pour les liaisons internationales actuellement et exclusivement par satellite ;
Projet de construction de Backbone national pour remplacer les infrastructures des grands axes de transmission par faisceaux hertziens par des équipements à fibre optique de grandes capacités ;
Projet de Réseau de téléphonie rurale par Boucle locale.
- Promotion des services à valeur ajoutée et des nouvelles technologies de l’Information ouverts à la concurrence avec concession et licence d’exploitation :
Ouverture de nouveaux réseaux basés sur les nouvelles technologies WIFI, WIMAX, CDMA ;
Développement et vulgarisation de l’Internet à travers des infrastructures de larges bandes.
- Création de technopôles TIC pour :
Inciter les investisseurs dans le secteur TIC ;
Concrétiser le partenariat public privé, base de la politique de développement du secteur ;
Appuyer la formation des techniciens de tout niveau pour renforcer la capacité des Ressources humaines indispensable au développement du haut débit national et international.
4.2 Poste :
Filialisation des Produits à valeur ajoutée de l’Office de la Poste Guinéenne (Opérateur Public) avec participation des investisseurs privés à hauteur de 51 % :
Les services financiers de la poste : Comptes de chèques postaux, Caisse Nationale d’Epargne, Porte-monnaie électronique, Transfert électronique d’Argent, Produits d’assurance, Paiement des factures commerciales, Cartes salaire ;
Transport colis et logistique ;
Courrier accéléré
4.3 Communication:
- Construction et équipement en partenariat public - privé d’une imprimerie pour la presse nationale (publique et privée) ;
- Ouverture de l’espace Audiovisuel :
Stations de Radiodiffusion Privées
Stations de Télévisions Privées
- Coproduction de films guinéens dont trois sont actuellement disponibles :
Un feuilleton télévisuel de 120 épisodes d’une durée de 26 mn chacun,
Le salaire de la nuit, un long métrage,
La charte de Kouroukanfouga
mardi 18 septembre 2007
samedi 15 septembre 2007
Fiches pêches préparés par M. Kaba
MINISTERE DE LA PECHE ET DE L’AQUACULTURE
FORUM « INVESTIR EN GUINEE » - PARIS, 10 et 11 DECEMBRE 2007
PROJET DE FICHE SECTORIELLE
MINISTERE DE LA PECHE ET DE L’AQUACULTURE
BP : 307 Tél : (224) 30.41.36.60 / 30.41.35.23 / 30.41.43.10 / 30.41.52.30 / 30.41.12.58
FAX : (224) 30.41.35.23 / 30.41.36.60 / 30.41.19.26
E.MAIL :
Conakry, République de Guinée.
FORUM « INVESTIR EN GUINEE » - PARIS, 10 et 11 DECEMBRE 2007
PROJET DE FICHE SECTORIELLE
MINISTERE DE LA PECHE ET DE L’AQUACULTURE
BP : 307 Tél : (224) 30.41.36.60 / 30.41.35.23 / 30.41.43.10 / 30.41.52.30 / 30.41.12.58
FAX : (224) 30.41.35.23 / 30.41.36.60 / 30.41.19.26
E.MAIL :
Conakry, République de Guinée.
LES INSTITUTIONS
Le Ministère de la Pêche et de l'Aquaculture a pour mission la conception, l'élaboration, la mise en œuvre et le suivi de la politique du Gouvernement dans les domaines de la pêche et de l'aquaculture.
Pour accomplir sa mission, le Ministère de la Pêche et de l'Aquaculture comprend :
- un Secrétariat Général ;
- un Cabinet ;
- des Services d'Appui ;
- des Directions Nationales ;
- un Service Rattaché ;
- des Etablissements Publics ;
- des Services Déconcentrés Territoriaux.
- des Programmes et Projets Publics de Développement ;
Le Cabinet du Ministre comprend :
- un Chef de Cabinet ;
- un Conseiller Principal ;
- Un Conseiller Chargé de l’Approvisionnement du Marché en Poisson
- un Conseiller Juridique ;
- un Conseiller Economique ;
- un Chargé de Mission ;
- un Attaché de Cabinet.
Les Services d'Appui sont:
- le Bureau d’Etudes et de Stratégies ;
- l'Inspection Générale des Pêches et de l’Aquaculture;
- la Division des Affaires Administratives et Financières ;
- le Fonds de Soutien à la Pêche artisanale et à l’Aquaculture.
- la Division des Ressources Humaines ;
- le Secrétariat Central.
Les Directions Nationales sont:
- la Direction Nationale de la Pêche Maritime ;
- la Direction Nationale de la Pêche Continentale et de l'Aquaculture.
Le Service Rattaché est:
- le Service Industrie Assurance Qualité des Produits de la Pêche et de
l’Aquaculture.
Les Etablissements Publics sont:
- le Centre National de Surveillance et de Protection des Pêches ;
- le Centre National des Sciences Halieutiques de Boussoura ;
- l’Observatoire National des Pêches ;
Les services déconcentrés territoriaux sont :
- les Directions Régionales des pêches et de l’aquaculture ;
- les Directions Préfectorales des pêches et de l’aquaculture ;
- les Directions Communales des pêches et de l’aquaculture pour le Gouvernorat de Conakry.
POLITIQUE DE DEVELOPPEMENT
La République de Guinée, en raison de l'importance de son plateau continental, de la densité de son réseau hydrographique, de son littoral bordé d'importantes forêts de mangroves, dispose d'un environnement particulièrement favorable au développement des ressources halieutiques.
En vue de l'exploitation durable de ces, le Gouvernement de la République de Guinée a adopté une politique de développement dont l'objectif global vise la maximisation des bénéfices économiques et sociaux que le pays peut en tirer tout en veillant à la protection de l'environnement.
Les objectifs spécifiques portent sur la sécurité alimentaire par la disponibilité en poisson, la génération de revenus pour les intervenants impliqués dans les différentes filières et pour le trésor public, la création d'emplois.
Pour atteindre ces objectifs, la politique adoptée pour le secteur de la pêche s'appuie sur quatre (04) axes stratégiques :
La maîtrise de l'exploitation par le renforcement des capacités de recherche et de surveillance, afin de garantir la pérennité des rendements et des revenus ;
L'appui direct aux communautés villageoises, aux opérateurs de pêche artisanale et industrielle et aux organisations socioprofessionnelles du secteur ;
La mise en place d'une industrie nationale des pêches répondant aux normes de qualité ;
Le renforcement des capacités de l'administration des pêches.
CADRE JURIDIQUE ET REGLEMENTAIRE
Les activités de pêche sont régies par le Code de la Pêche et de la loi sur la pêche continentale (références à porter)
Au début de chaque année, le Ministère de la Pêche et l’Aquaculture publie le Plan d’Aménagement de Pêcheries, qui fixe les conditions techniques et économiques dans lesquelles la campagne de pêche concernée doit se dérouler.
LES RESSOURCES HALIEUTIQUES
Ressources pélagiques :
°Espèces très côtières constituées par les sardinelles plates et les ethmaloses exploitées uniquement par la pêche artisanale ;
°Sardinelles rondes et chinchards, exploitées par des chalutiers pélagiques ;
°Les thonidés (albacore, patudo, listao) constituent une ressource hauturière saisonnière.
Ressources démersales :
°Sur les fonds de vase, une communauté à sciaenidés vivant dans les eaux chaudes et déssalées jusqu’à une profondeur de 15 m. Les principales espèces sont les otholites, les mâchoirons et les grondeurs ;
°Sur les fonds de sable jusqu’à 60 milles de large et jusqu’à une profondeur de 60m, vit une communauté à sparidés composée d’espèces d’affinité d’eaux froides et salées ;
°Au-delà de 80-100m, il existe une communauté profonde typique des fonds vaseux vivant jusqu’à des profondeurs de 1000m. Elle constitue une importante biomasse de crabes et de crevettes.
POTENTIEL EXPLOITABLE PAR AN
-Petits pélagiques :………………….
-Démersaux………………………..
-Crevettes…………………………
-Céphalopodes…………………… LES DONNES ACTUALISEES SERONT FOURNIES A LA PROCHAINE REUNION
-Pour la pêche continentale, le potentiel est estimé à 12.000 tonnes.
-Pour l'aquaculture, les quatre (4) régions naturelles que compte le pays sont toutes favorables au développement de la pisciculture avec un accent marqué pour la Guinée Forestière.
-En ce qui concerne la crevetticulture, le potentiel est estimé à 30.000 ha de plaines aménageables.
OPERATEURS DU SECTEUR
Sociétés de Pêche industrielle :
-
-
Entreprises d’exportation des produits halieutiques:
-
-
Port Autonome de Conakry :
Sociétés de Transit et de Consignation :
-
-
Compagnies de transport aérien
-
-
Organisation Socioprofessionnelle
-Importateurs de matériels et équipements de pêche
Des renseignements actualisés seront fournis.
Nb : introduire des images à partir d’ un lot qui sera proposé
FICHE DE PROJET N° 1
Titre du Projet : Réhabilitation des infrastructures réalisées dans le cadre de la Société mixte guinéo-française : « La Nouvelle Soguipêche »
1- Contexte et justification :
Parmi les objectifs spécifiques de la Politique de développement des pêches en Guinée, figurent en bonne place :
a- la sécurité alimentaire à travers l’amélioration de la consommation per capita de poisson ;
b- l’intégration du secteur à l’économie nationale, à travers la création de valeurs ajoutées.
Les ressources halieutiques existent et les infrastructures concernées ont une capacité de traitement de 9.000 tonnes de poisson par an. En raison de l’âge de l’unité, les équipements qui existent encore, méritent d’être remplacés ou améliorés.
2- Stratégie de mise en œuvre :
La stratégie proposée est la création d’une société à gestion privée qui procèdera à la réhabilitation et l’exploitation dudit patrimoine appartenant à l’Etat guinéen ; dans des conditions à définir.
En raison de la cession faite des trois (3) chalutiers congélateurs de 32m que gérait cette société, la mise en place d’un système de production composé de navires de pêche fraîche s’avère être l’option la plus adaptée.
Les captures réalisées sont quotidiennement livrées au centre de traitement où se font le tri, le calibrage et la congélation au besoin.
3- Résultats attendus :
- contribution à la sécurité alimentaire ;
- renforcement du potentiel d’exportation des produits halieutiques ;
- création d’emplois pour les femmes et les jeunes diplômés sans emploi.
4- Coût estimatif :
Le coût estimatif du projet est quinze millions de dollars américains (15.000.000 USD)
5- Financement :
A rechercher
FICHE DE PROJET N° 2
Titre du Projet : Création d’une zone de traitement et de conditionnement des produits halieutiques
1- Contexte et justification :
L’exportation des produits halieutiques est une filière très porteuse en raison de la forte demande constatée sur le marché international.
En dépit de l’abondance des ressources halieutiques, cette activité n’est pratiquée que de manière accessoire en raison de l’inexistence d’infrastructures et d’équipements adéquats ; mais aussi d’expertise requise. Les unités qui pratiquent cette activité sont situées dans des locaux résidentiels réadaptés à la cause.
2- Stratégie de mise en œuvre :
Dans le cadre du Projet de développement de la Pêche Artisanale en Guinée (ODEPAG), le port de pêche artisanale de TEMENETAYE à Conakry a bénéficié d’importants aménagements : quais, entrepôts frigorifiques, hangars etc….
En raison du développement marqué du port de BOULBINET, le plan d’eau de TEMINETAYE n’est pas très fréquenté.
L’idée proposée est de remblayer ce plan d’eau en vue d’en faire une zone viabilisée, où des opérateurs professionnels privés réaliseront leurs unités modernes de traitement des produits halieutiques (étêtage, éviscération, filetage, congélation etc.…..)
3- Résultats attendus :
- création d’un pôle moderne garantissant la bonne qualité des produits halieutiques qui y sont traités ;
- renforcement du potentiel d’exportation des produits halieutiques et des flux financiers y relatifs;
- assurance pour la Guinée d’être sur la liste des pays autorisés à exporter vers les pays de marchés ;
- création d’emplois pour les femmes et les jeunes diplômés sans emploi.
4- Coût estimatif :
Le coût estimatif du projet est à déterminer.
5- Financement :
A rechercher
FICHE DE PROJET N° 3
Titre du Projet : Développement de la pisciculture rurale en Guinée forestière (Kissidougou, Guéckédou et Macenta)
1- Contexte et justification :
Par ses caractéristiques physiques (pluviométrie abondante avec de nombreux bas-fonds), la Guinée forestière dispose d’un potentiel important pour la pisciculture.
A travers de multiples projets d’expérimentation et d’appui, des expériences sont acquises mais les moyens financiers nécessaires à la réalisation d’unités de production de poisson à grande échelle n’existent pas.
2- Stratégie de mise en œuvre :
Sur la base des données récoltées sur le terrain, réaliser une étude de faisabilité pour la mise en place d’une entreprise de production d’alevins et de poissons, dont le marché s’étendra aux pays frontaliers.
3- Résultats attendus :
- contribution à la sécurité alimentaire de la Région forestière dont la consommation
per capita de poisson est des plus bas. ;
- renforcement du potentiel d’exportation des produits halieutiques et génération de flux financiers;
- création d’emplois pour les femmes et les jeunes diplômés sans emploi.
4- Coût estimatif :
Le coût estimatif du projet est à déterminer.
5- Financement :
A rechercher
FICHE DE PROJET N° 4
Titre du Projet : Reprise des activités de Société d’Aquaculture de Koba (SAKOBA)
1- Contexte et justification :
En raison d’un potentiel naturel très favorable, le Gouvernement a créé en partenariat, la SAKOBA. Les réalisations ci après ont été faites :
-
-
-
Pour un investissement global de ….. millions de dollars américains.
A ce jour cette Société a cessé ses activités, mais les bassins aménagés, les infrastructures et équipements sont en place.
2- Stratégie de mise en œuvre :
La stratégie proposée est la création d’une société à gestion privée qui procèdera à la réhabilitation et l’exploitation dudit patrimoine appartenant à l’Etat guinéen ; dans des conditions à définir.
3- Résultats attendus :
- relance de la production industrielle et exportation de crevettes
- création d’emplois pour les femmes et les jeunes diplômés sans emploi.
4- Coût estimatif :
Le coût estimatif du projet est à déterminer
5- Financement :
A rechercher
Contribution de M. Sangaré du MEH
FICHE DU SECTEUR(1)
1. Contexte du secteur
2. Aperçu du marché
( Il s’agit de faire une évaluation à priori du potentiel des marchés existants dans l’ensemble du secteur marchand concerné ).
3. Cadre règlementaire et juridique
4. Opportunités d’affaires dans le secteur
( Il s’agit des projets retenus par le Département et qui sont à même d’éveiller l’intérêt des investisseurs potentiels pour engager une démarche en faveur de sa concrétisation rapide avec le Gouvernement ).
(1) Il s’agit de secteur marchand où il est possible de générer dans un cadre autonome des ressources suffisantes pour rémunérer le capital investi et assurer l’exploitation correcte du système.
FICHE DE PROJET(1)
1. Objectifs du secteur dans lequel s’inscrit le projet
2. Localisation du projet
3. Résultats attendus du projet
4. Description technique et financière du projet
5. Liens avec d’autres projets d’investissements
6. Evaluation du marché ciblé
7. Montage institutionnel et place du secteur privé dans le projet
8. Cadre législatif et réglementaire pour la participation du privé
(1): il s’agit de projets à présenter au secteur privé et préalablement listés dans les opportunités d’affaires annoncées dans la fiche du secteur concerné
1. Contexte du secteur
2. Aperçu du marché
( Il s’agit de faire une évaluation à priori du potentiel des marchés existants dans l’ensemble du secteur marchand concerné ).
3. Cadre règlementaire et juridique
4. Opportunités d’affaires dans le secteur
( Il s’agit des projets retenus par le Département et qui sont à même d’éveiller l’intérêt des investisseurs potentiels pour engager une démarche en faveur de sa concrétisation rapide avec le Gouvernement ).
(1) Il s’agit de secteur marchand où il est possible de générer dans un cadre autonome des ressources suffisantes pour rémunérer le capital investi et assurer l’exploitation correcte du système.
FICHE DE PROJET(1)
1. Objectifs du secteur dans lequel s’inscrit le projet
2. Localisation du projet
3. Résultats attendus du projet
4. Description technique et financière du projet
5. Liens avec d’autres projets d’investissements
6. Evaluation du marché ciblé
7. Montage institutionnel et place du secteur privé dans le projet
8. Cadre législatif et réglementaire pour la participation du privé
(1): il s’agit de projets à présenter au secteur privé et préalablement listés dans les opportunités d’affaires annoncées dans la fiche du secteur concerné
Un espace de concertation
Cet espace nous est destiné pour y confronter les idées et les actions de préparation du forum "investir en Guinée" prévu à Paris les 10 et 11 décembre prochain.
N'hesitez pas à y poster ce qui vous semble utile. Les commentaires sur les travaux des autres intervenants sont également les bienvenus.
Nous comptons sur vous pour enrichir de votre experience personnelle les activités préparatoires de ce grand rendez vous.
N'hesitez pas à y poster ce qui vous semble utile. Les commentaires sur les travaux des autres intervenants sont également les bienvenus.
Nous comptons sur vous pour enrichir de votre experience personnelle les activités préparatoires de ce grand rendez vous.
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